Le printemps noir emporte sa deuxième victime
Tous les observateurs ont les yeux rivés vers le continent noir avec une question suspendue aux lèvres : « A qui le prochain trou ? » Et pendant que Mamane « gondouanisait » avec « Au suivant ! » sur Rfi, c’est en République (très très) Démocratique du Congo que le vent du printemps noir vient frapper. A en croire les médias en ligne, le directeur de la prison centrale de Kinshasa (CPRK) vient d’être limogé pour avoir confisqué les postes téléviseurs à ses pensionnaires afin de les épargner la tentation, pendant que les images de la révolution burkinabè défilaient sur le petit écran. Malheureusement pour le geôlier, sa hiérarchie aurait vu son acte d’un mauvais oeil. Le colonel s’est vu remplacé par un civil, en attendant que le Lieutenant Colonel de Burkina fasse la même chose en rendant le tablier aux hommes (ou femmes) non armés.
MMM
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